Noces de basane

La basane est un cuir de tannage 100 % végétal réalisé sur de petites peaux, le plus souvent de mouton. Contrairement aux autres cuirs, traditionnellement tannés à l’alun, qui blanchissent au soleil, la basane, du fait de son tannage végétal, brunit dès lors qu’elle est exposée à la lumière du jour. Une particularité à l’origine de l’adjectif basané pour l’homme.

Symbolique : les noces de basane symbolisent les 31 ans de mariage dans le folklore français.




Donc, Françoise et moi avons fêté nos 31 ans hier soir au restaurant Le Vivier à Coignières. Pas de photos du fait d'une batterie déchargée et non vérifiée...désolé, je ne le ferai plus.

Nous étions dans la " Salle Hollandaise ", décorée sous la direction d' André Demay et Georges Boitard, spécialistes du travail de la céramique. Ce restaurant, anciennement "La maison d'Angèle", nous l'avons souvent pratiqué avec bonheur (voir le site http://www.levivier.net/ ).
Hier soir, dîner poissons : pour Françoise, carpaccio de St Jacques, filet de bar grillé façon méditerranéenne, crêpe soufflée aux mandarines ; pour moi meurette de St jacques, filet de sandre à la crème de cresson, et crêpe soufflée aux mandarines.

Allez-y ... même si vous n'avez pas l'excuse de la basane !!!

A Saumur, il n'y a pas que la cavalerie à cheval !

En effet, Saumur est le lieu d'installation du Musée des Blindés. Voir leur site : www.musee-des-blindes.asso.fr


Plus de 250 engins blindés provenant de différents pays sont exposés dans d'immenses hangars bien froids ! Il semble bien que la plupart de ces véhicules soient en état de marche, et tant des traces au sol que l'odeur se dégageant de l'arrière de certaines pièces qui m'a rappelé le 73 ème RA à Reutlingen, semblent le confirmer !
On suit l'évolution des blindés depuis 1917, jusqu'au récent char Leclerc. De nombreux chars des années 60 et suivantes, dont des chars russes, sont des prises de guerre soit de la Forpronu en ancienne Yougoslavie, soit en Irak lors de Tempête du désert.



1ère guerre mondiale : à gauche (1) le Saint-Chamond de 1916, à droite (2) le Renault FT 17 de 1917













2ème guerre mondiale, Allemagne : à gauche (3) le Tigre I, à droite le Panzer III (4)


2ème guerre mondiale, France : à gauche (5) char Hotchkiss H 39, à droite (6) Automitrailleuse légère Panhard AMD 178

Le Leclerc français (7)

C'est grâce à la gentillesse de ma Valentine que j'ai pu visiter le Musée, mais néanmoins, Françoise a appris des choses, en plus de découvrir la taille impressionnante des chars : ainsi, de 1941 à 1944, les Allemands recouvraient les chars d'une couche de résine/sable, destinée à éviter que l'on puisse coller des mines magnétiques (voir ci-contre, 8)! Il ne lui reste plus qu'à trouver l'occasion de replacer l'information lors d'un repas !

En tout cas, si vous vous intéressez à l'histoire militaire ou à l'industrie automobile au sens large (ou aux deux !), allez passer quelques heures dans ce musée !

Origine des photos : 1,2, 5, 6,8 : Musée des Blindés . 3, 4 : worldwartwo.free.fr . 7 : Armée de terre française.

Coup de gueule contre SFR

Un conseil : évitez l'internet SFR et leur service clientèle, qui méprise ses clients

Depuis 2003, j'étais client en internet de Tele2, plutôt satisfait. SFR a racheté Tele2, et a entrepris de migrer ces clients vers SFR.

Le 21 janvier, je me résous à effectuer les procédures de transfert. Là, pendant 14 longs jours jusqu'au 2 février dans l'après-midi, plus d'accès à mes mails. Des contacts téléphoniques coûteux auprès de l'assistance technique qui mettra plusieurs jours à reconnaitre que le dysfonctionnement venait d'eux, des mails de demande d'indemnisation auprès de l'assistance administrative qui répond "qu'ils ne sont pas compétents pour résoudre mon problème technique" (sic) m'emmèneront à ouvrir un compte de courrier électronique gmail.
Le 28 février , j'ai adressé un courrier en montant d'un échelon, au Service Consommateurs qui a accusé réception par mail quelques jours après. Si vous avez quelques minutes, amusez-vous à prendre connaissance de sa conclusion :

Il est bien clair que je ne formulais pas une requête technique, mais une requête commerciale. De deux choses l'une : soit la personne qui m'a répondu ne comprend pas bien le français, et c'est grave dans un service d'assistance ; soit et cela me semble le plus probable, cette réponse est formatée dans le but de décourager le client d'aller plus loin dans sa démarche, et c'est encore plus grave. Je crains pourtant que cette seconde hypothèse soit la plus probable, d'autant qu'il m'est -curieusement- maintenant impossible de vous contacter par mail via le logiciel d'assistance, qui se déconnecte dès que je clique sur le dernier « OK » de validation pour écrire une demande. Toutes ces manières de traiter le client sont insupportables.

En conclusion de ces deux motifs d'insatisfaction, et des carences du Service Clients, j'ai recours à votre Service Consommateurs pour réitérer une nouvelle fois ma demande d'indemnisation, tant au titre de maintenant quatre appels infructueux auprès du Service Technique pour une durée d'environ cinquante minutes, que de la privation de l'accès à la Messagerie depuis huit jours à cet instant.

Je vous serais obligé de m'adresser une réponse claire et précise, n'éludant pas ma question, dans un délai de huit jours après réception de la présente. Dans le cas contraire, j'envisage de suspendre auprès de ma banque l'autorisation de prélèvement, et de vous régler sur facture, par chèque bancaire, en fonction de le remise en service de vos prestations.
J'adresse copie de la présente à la Rédaction du mensuel « L'ordinateur Individuel ».

Au 21 février, toujours pas de réponse...

Vendredi 20 février vers 18 heures, plus d'accès internet. La panne me paraissant venir de mon modem-routeur Netgear, je contacte le service clients, qui conclut soit à une panne du modem (vérifiez le chez un voisin, sympa !) soit à un incident chez le fournisseur d'accès.
Et me voilà reparti pour appeler à tout hasard, car j'étais persuadé que la panne venait du routeur, l'assistance technique SFR. Et là surprise, un message téléphoné m'indique que mon n° de Tél leur a permis d'identifier que je suis victime d'une panne sur laquelle ils travaillent. Je serai informé de la remise en service de mon accès le samedi 21 vers 16 heures.

Et ce dimanche 22 matin, devinez... vers 11h, je consulte mon courrier et paf : un message d'incident m'indique que sfr.fr n'est pas accessible du fait d'un problème technique ! (edit à 19 h : miracle, l'accès à mes mails sfr est rétabli ! Mais heureusement que je communique maintenant par gmail !)

Je vous laisse en tirer les conclusions. Pour moi, à la première occasion (nous sommes en fin de ligne ADSL, et pas encore éligibles aux trios TV/internet/téléphone) je leur ferai bien sûr un pied de nez.

Edité le 24 février à 14 heures : appel téléphonique de SFR il y a quelques minutes (chances/risques de tomber sur un client à cette heure de la journée : 10 % ? 20 % ?). La personne, charmante, voulait vérifier si l'incident était clos ...Il parait que je vais recevoir un "geste commercial"... J'attends, mais cela ne m'a pas empêché de lui dire que je quitterai SFR. Hier, j'ai fait la formalité pour passer du paiement par prélèvement au paiment par chèque, sur envoi de facture. La confiance ne règne pas.
Edité le 25 février : ah oui, la lettre a fait vite ...mais ... pour me dire (après une énorme faute de français) : "Afin d'apporter une solution, nous effectuons des recherches complémentaires". SFR est toujours droit dans ses bottes !!!!
Edité le 26 février (quelle activité !). Reçu ce jour une nouvelle lettre m'informant "d'un crédit d'un mois soit 29,90 €". Sauf que je paie 19,95 par mois...Arnaque sous roche, nouvelle erreur de SFR... A suivre !!!
Edité le 21 mars : ma facture du 15 mars ne comportait pas la remise. Attendons avril...

Saint Valentin à l'Abbaye Royale de Fontevraud

Reprise de nos petites escapades, ce samedi 14 février avec Françoise, pour la Saint-Valentin, à l'Hôtel de l'Abbaye Royale de Fontevraud, près de Saumur.


Après 3 heures d'autoroute, voici Saumur et plus particulièrement son château, dont la construction s'est étalée du 14è au 16 è siècles. Mon guide vert est de 2005, et précise que d'importants travaux de rénovation étant en cours, les visites sont provisoirement suspendues. J'ai considére que 4 ans après... eh bien erreur, c'est toujours en cours, et nous nous sommes contentés d'admirer les extérieurs, d'ailleurs superbes !





Mon plan de visites bousculé, direction le château de Brézé à 15 kms au sud-est. De loin, rien ne distingue ce château des nombreux autres de la région. Son originalité commence en découvrant les douves sèches, de dimensions impressionnantes qui nous rappelleront dans un angle précis Petra en Jordanie, puis en visitant "le château sous le château" : plus d'un km de souterrains recelant caves, pressoirs, fournil, cellier, étable...le tout daté de 1060...

A gauche, le château, au centre l'entrée des souterrains, à droite la "salle chaude" des cuisines.




















A gauche, les cuisines ________________________A droite, les douves...un lointain air de Petra !





Ensuite, direction le Prieuré Saint Lazare, hôtel situé dans l'enceinte du l'Abbaye Royale de Fontevraud, que nous visiterons le lendemain matin. Après avoir pris possession de notre cellule, nous nous rendons dans une ancienne chapelle au bon mais trèèèès long dîner de la Saint Valentin (de 20h à 0h30, et là on a renoncé au café) dont vous trouverez le menu ci-dessous. A noter que, oui, j'ai invité (deux fois !) Françoise à danser ! (enfin, comprenons nous : je ne suis capable d'effectuer que des pas lents, en tournant de gauche à droite, surtout pas dans l'autre sens !).


Dimanche matin, après un copieux petit déjeuner, nous visitons l'Abbaye, fondée en 1101, et qui après la révolution a servi de prison centrale de 1804 jusqu'en 1963. D'imposants travaux de rénovation, là encore en cours la réhabilitent.

Une vue très partielle de l'Abbaye _________________ Les Gisants _____________Une peinture de la salle capitulaire



Et puis, sur le départ, ma Valentine a voulu me faire plaisir et a insisté pour que nous puissions visiter le Musée des Blindés, à Saumur. Ce sera l'objet de notre prochain message !

A l'Ouest (de Paris) rien de nouveau ...

... donc on va faire dans l'ancien ! Depuis décembre, je numérise mes vieilles photos et diapositives. J'ai rapporté de chez Maman la semaine dernière un vieil album, dont j'ai tiré les émouvantes images ci-dessous...

Ma vraiment première photo, à "moins quatre mois" : dans la Juvaquatre de la famille, on distingue mon frère Jean (sans intérêt...), et devant Maman qui visiblement porte un petit colis, et Papa dans un geste protecteur et tendre.

Je ne sais pas s'il était vraiment content, mais c'est marqué :

Première photo, mars 1950, avec ma Mémé :

Et à huit mois en juillet 1950, n'étais-je pas -déjà - mignon ? (???)

A suivre, il y a du matériel !